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26 novembre 2012

Livre : «Les proies dans le harem de Kadhafi», d'Annick Cojean, publié aux Editions Grassett


Dans son livre, Les proies dans le harem de Kadhafi, Annick Cojean, grand reporter au journal Le Monde, enquête sur un secret de la dictature libyenne: un redoutable système d'esclavage sexuel qui permettait au Guide d’assouvir ses pulsions sadiques et d'assurer sa domination. Elle livre, notamment, le témoignage bouleversant de Soraya, enlevée à 15 ans, puis séquestrée, violée, battue, droguée, jusqu’à la mort de Kadhafi en octobre 2011.


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12 octobre 2012

Femmes SDF: une maison pour sortir de l'errance

Souvent les femmes SDF passent la journée dans la rue ou dans un centre d'accueil, et tous les jours c'est la galère pour trouver une place dans un centre d'hébergement d'urgence pour passer la nuit. Surtout dans les grandes villes comme Paris. Pour rompre ce cercle vicieux de la précarité, il existe de rare centres de stabilisation, comme Maison coeur de femmes, de l'association Aurore urgence. Là, les femmes peuvent se "pauser", le temps qu'il faut pour se reconstruire. A condition de se plier aux règles de la communauté. Reportage.


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10 janvier 2012

Femme et SDF...

Plus de 5 000 sans domicile fixe errent dans les rues de Paris et de sa banlieue en cette période de froid. 37% d’entre eux, sont des femmes, selon la MIPES, la Mission d’information sur la pauvreté et l’exclusion sociale.

Mais ce taux est probablement en dessous de la réalité. Toutes les femmes SDF ne sont pas connues des services sociaux, toutes ne trouvent pas de places dans les structures d’accueil de jour qui peuvent les aider à se réinsérer.

Or, elles ont besoin d'une attention propre à leur condition de femme et d'une protection face à la violence dont elles sont victimes. Qui sont les femmes sdf ? Comment les associations, comme le «Samu social» ou «Aurore Urgence» leur viennent-elles en aide? Reportage.

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21 juin 2010

Article: Fête de la musique 2010 : les femmes à l’honneur


Pour la 29ème fois en ce 21 juin frisquet, les musiques d'artistes professionnels et amateurs de tous horizons inonderont les rues des villes de France et celles de 110 pays dans le monde !

L’ode aux femmes. « J’ai souhaité cette année que la Fête de la Musique fasse entendre tout particulièrement la voix des femmes », a annoncé le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, souhaitant « évoquer le chemin parcouru par les femmes, souvent interdites de musique ».
Certes, les femmes ont eu plus de mal à se faire entendre que leurs homologues masculins. Mais dans ce domaine, comme souvent dans les arts, les artistes n’ont pas été avares de mélodies et de lyriques poétiques sur les femmes, les faisant jaillir du fond de leur cœur jusqu’au devant de la scène.

Petite halte commémorative au kiosque à chansons populaires des dernières décennies. Vous souvenez-vous ? « Où sont les femmes ?» demandait Patrick Juvet dans ce hit disco tonique au rythme duquel de fidèles quinquagénaires se dandinent encore dans les grandes occasions ! Il ne devait pas les chercher au bon endroit… « Femme je vous aime », s’exclamait Julien Clerc, qui, lui, les avait trouvées et comprises, sans toutefois en connaître « de faciles », plutôt de « fragiles », c'est dire que ses relations avec elles ne devaient pas être roses tous les jours ! Des couleurs de l’arc en ciel, Christophe a préféré évoquer « les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux », ou plus exactement ceux qui sont indicibles « parler me semble ridicule », conclut-il. Une «poupée qui dit non, non, non», regrettait Polnareff qui aurait bien aimé qu'on lui dise «ouiiii» lui l'incompris en exil, l'«âme câline, [qui] cherche coeur libre tous les jours, toutes les nuits, pour la vie... et peut-être plus». La nostalgie l'emporte avec Michel Delpech qui se souvient que petit garçon «c'était bien chez Laurette, on y retournera». «Elle l'a Ella», se réjouissait France Gall, la muse de Michel Berger, commémorant la voix et le bagou exceptionnels de la diva du blues Ella Fitzerald, qui a su se hisser au top dans une Amérique ségrégationniste. Et quelle belle prière que « stand by me » de Ben King et ce cri d’amour adressé à toutes les femmes « oh when a man loves a woman… He’ll trade the world for the good thing he found » ? Sans oublier la terrifiante supplique de Jacques Brel dans « Ne me quitte pas » prêt à se résoudre à n'être que « l’ombre de [la] main, l’ombre [du] chien » de la femme qu'il a dans la peau, plutôt que d'imaginer sa vie sans elle...