11 janvier 2015

Le marché français des yearlings tient la corde

En France, le marché des yearlings, ces furturs chevaux de courses, se porte bien, boosté par une forte demande internationale. En octobre 2014, plus de 500 bébés pur-sang anglais de haut pédigrée, ont été vendus aux enchères d'Arqana à Deauville. Chiffre d'affaire total des ventes : près de 13 millions d'euros. 8% de plus que l'année précédente, à la même période. Les acheteurs ont déboursé 37 000 euros en moyenne pour s’approprier ces poulains bien nés, élevés et entrainés dans l'hexagone. Reportage d'Ariane Gaffuri.  

Cliquez ici pour écouter le son 







08 janvier 2015

7 janvier 2015

La France sous le choc après l'attaque terroriste de  mercredi 7 janvier 2015 au siège du journal Charlie Hebdo, dans le 11e arrondissement de Paris. Deux hommes cagoulés, déterminés, armés de Kalachnikov criant "Allah Akbar", "le prophète est vengé", ont tiré abattant plusieurs figures historiques du journal satirique : Wolinski, Cabu, Charb, Tignous, Bernard Maris...  Deux policiers ont été également froidement assassinés. Toute la journée, les réactions ont été vives, comme vous pouvez l'entendre.

Cliquez ici pour écouter le son






11 décembre 2014

Devenir propriétaire de chevaux de course avec les écuries de groupe

En octobre 2004 à Deauville, les ventes aux enchères de yearlings, ces bébés pur-sang, futurs seigneurs des hippodromes, ont rencontré un fort succès parmi les professionnels du monde entier. Près de 500 chevaux ont été vendus pour une moyenne de 37 000 euros. Des ventes qui ont attiré de nouveaux propriétaires, issus des écuries de groupe. Ce modèle économique, en plein essor, permet à tout le monde de posséder un ou plusieurs chevaux de courses, dans un cadre juridique sécurisé et limité dans le temps. Reportage d'Ariane Gaffuri. Cliquez ici pour écouter le son





Le CICE : Quel bilan un an après sa mise en place ?

Le CICE, Crédit impôt compétitivité emploi, permet à quelque 700 000 entreprises, sur le million concerné, d'obtenir une baisse de charges pour qu'elles puissent investir, créer des emplois, et relancer les exportations. Force de frappe annuelle : 20 milliards d'euros. Mais après sa mise en place, le CICE n'est pas à la hauteur des espérances des chefs d'entreprises. Reportage Ariane Gaffuri.

Cliquez ici pour écouter le son





09 octobre 2014

France : le marché du jeu vidéo reprend des couleurs

Deuxième industrie de loisirs derrière le livre, le marché du jeu vidéo se porte mieux, après des années de ralentissement. Son chiffre d'affaires culmine à 2,7 millions d'euros en 2013, selon le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs. Le secteur est tiré par les ventes de nouvelles consoles et leurs jeux inédits. Avec 600 nouveaux jeux disponibles chaque jour dans le monde, cette industrie très compétitive est en constante mutation. Reportage d'Ariane Gaffuri.


Cliquez ici pour écouter le son





18 septembre 2014

L'ami de demain : un robot humanoïde ?

Et si votre compagnon de demain était un robot humanoïde ? C'est le pari un peu fou d'un français qui a la tête sur les épaules, Bruno Maisonnier. Polytechnicien, ancien banquier, ce passionné de robotique a fondé il y a quinze ans Aldebaran Robotics qui a donné vie à trois robots : Nao, Romeo et Pepper. Avec un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros en 2013 contre 18 millions en 2012, la start-up française, détenue par des capitaux japonais, est leader mondial des robots humanoïdes. Ariane Gaffuri s'est rendue dans l'atelier futuriste d'Aldebaran Robotics à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne.



Cliquez ici pour écouter le son





28 mai 2014

Ces retraités français qui travaillent

Ils sont plus de 500 000 aujourd'hui en France à travailler après avoir pris leur retraite. Ils cumulent ainsi leur pension avec un boulot, une tendance qui a fortement augmenté depuis 2009, avec l'assouplissement de la législation sur le cumul-emploi-retraite. Au total, 7% des retraités entre 60 et 69 ans travaillent selon une étude de l'INSEE datant de 2012, soit deux fois plus qu'en 2006. La majorité d'entre eux reprennent du service par nécessité économique, d'autres pour cotiser plus et améliorer leur pension, d'autres juste pour garder un pied dans le monde du travail. Reportage.




Cliquez ici pour écouter le son